Vers une compréhension élargie de la maladie et de ses causes.

Vous vous souvenez peut-être de cet article concernant la triple nature des échanges qui se manifeste chez l’être humain. Le sujet a soulevé beaucoup de questions. Pour cette raison, j’en reprends l’essentiel pour la bonifier et répondre aux principales interrogations qu’elle a suscitées.
Voici un élément fondamental sur lequel nous devons réfléchir et qui, je crois, peut aider tous ceux qui travaillent à la guérison de l’être :

Le système des chakras concerne les échanges énergétiques dont la nature est psychique et on y retrouve les causes primaires des maladies.

Le système nerveux est responsable des échanges électriques que ce soit au niveau des terminaisons nerveuses ou des neurones du cerveau. On leur attribue les causes secondaires de maladies.

Le système glandulaire s’occupe des échanges chimiques (les hormones, vous connaissez). Elles sont responsables des causes tertiaires de la maladie.

Sans relâche, l’homme s’interroge sur les causes des maladies. Le sujet général de la guérison est aussi vieux que les âges. Il a toujours donné lieu à des recherches et à des expériences de toutes sortes et beaucoup de progrès ont été faits. Durant le processus évolutif, l’intégration de la connaissance se fait normalement du plus dense au plus subtil. Nos trois systèmes d’échanges ne font pas exception à la règle.
C’est la raison pour laquelle l’intérêt pour les échanges chimiques du corps vint en premier. À force de travail, la science est parvenue à en identifier les nombreuses composantes et définir leurs rôles dans le corps humain. D’innombrables découvertures s’ensuivirent et soulagèrent l’homme de ses maux. L’évolution faisant son chemin, la science s’attarda aux échanges électriques du corps. Encore une fois, il fut permis de connaître l’homme sous un angle nouveau. Les découvertes au niveau du cerveau sont spectaculaires et apportent aux différents spécialistes de la santé des solutions à certains types de désordres ou de maladies.

Pour ce qui est des échanges énergétiques, le savoir en est à l’enfance. La science tarde à se charger de cette tâche, car elle ne possède pas les outils nécessaires à leurs investigations. Jusqu’à maintenant, le fardeau de leur existence et leurs rôles appartient aux mystiques et aux occultistes. C’est à notre époque qu’il devient possible d’élargir nos connaissances des lois de la guérison magnétique et d’indiquer les causes des maladies qui prennent naissance dans les trois corps subtils.

Notre premier réflexe est de chercher la cause de nos maux dans le déséquilibre chimique du corps parce qu’il est plus facile à identifier. Nous acceptons de voir en ce déséquilibre la cause primaire de nos malaises alors qu’en fait, elle est de nature tertiaire. Pour cette raison nous accordons aux médicaments un rôle de premier plan alors qu’il devrait y jouer celui de soutien.

Imaginer que votre toit coule. Vous décidez de placer des seaux afin de limiter les dégâts. C’est adéquat le temps de réparer le toit me direz vous. Il est tout aussi évident qu’en ne réparant pas la toiture, vous ne pourrez enlevez éliminer les seaux.

Cette manière d’aborder le problème se compare parfaitement au choix que nous faisons lorsque vient le temps de résoudre une déficience reliée à de mauvaises habitudes de vie. Par exemple, une grande majorité de personnes, aux prises avec un taux de cholestérol élevé, choisissent de résoudre le problème en prenant des médicaments, et ce, même si elles savent très bien que la véritable solution consiste à modifier leur alimentation. En prenant le médicament, elles rétablissent un certain équilibre (illusoire) sans avoir à modifier leur mode de vie. Cette manière d’agir demeure une solution à action récurrente qui exige un minimum d’implication tout en maintenant les véritables causes à l’abri d’une prise en charge responsable. Il en est ainsi pour la plupart des désordres et maladies que nous connaissons.

A.A. Bailey souligne : « dans le corps médical moderne, on parle beaucoup de déséquilibre  des glandes endocrines. On rattache de nombreux troubles physiques à ce désarroi fréquent. Mais à l’arrière-plan de cet état du système glandulaire gît le déséquilibre fondamental des chakras eux-mêmes. Il faut d’abord évaluer correctement leurs forces, leur réception, et leur usage subséquent pour aboutir à un juste équilibre qui permet au système endocrinien de contrôler l’homme physique de la manière prévue. Il serait aujourd’hui très nécessaire d’étudier les problèmes suivants :

1. Le problème de la réception correcte de la force par le chakra approprié. À titre d’exemple, citons le contrôle correct du plexus solaire en tant que chakra susceptible d’enregistrer la sensibilité astrale et de s’en servir correctement.

2. Le problème de la juste relation entre un chakra particulier et la glande corrélative. Il faut que la force affluant par le chakra adéquat ait libre cours pour atteindre la correspondance glandulaire alliée, ce qui conditionne son hormone spéciale et finalement conditionne le courant sanguin. Si vous admettez cet enchaînement, vous comprendrez plus clairement le sens occulte des paroles de l’Ancien Testament disant que “le sang est la vie”. C’est la vitalité provenant du corps éthérique qui se manifeste dans le courant sanguin, via le chakra réactif à l’un des sept types particuliers de force et sa glande associée.

Il existe donc une relation étroite entre les quatre facteurs suivants :
a. Le corps éthérique comme transmetteur d’un vaste agrégat d’énergies et de forces.
b. Le système endocrinien dont les diverses glandes représentent en réalité l’extériorisation ou la matérialisation des chakras majeurs et mineurs.
c. Le cœur, qui est le chakra de la vie comme le cerveau est le chakra de la conscience, fait circuler le sang et le contrôle. C’est ainsi que ces trois grands systèmes sont reliés.
d. Le système glandulaire tout entier est étroitement relié au système nerveux par l’intermédiaire du réseau de nerfs et des “nadis” qui servent de base à ce réseau. Ces nadis sont les filets de force vitale qui sous-tendent chacune des parties du corps, et en particulier le système nerveux sous tous ses aspects.

À ces problèmes et relations, on peut encore faire une addition. Il s’agit de l’interrelation qu’il faut établir entre tous les chakras pour permettre à la force de jouer librement d’un bout à l’autre du véhicule physique selon un rythme correct.

Il existe donc certains grands systèmes directeurs interdépendants qui contrôlent (ou ne réussissent pas à contrôler) le corps physique. Le défaut de contrôle est dû à l’échec dans l’établissement de relations justes à l’intérieur du corps, ou à un manque de développement.

Les trois groupes interdépendants sont les suivants :
1. Celui du corps éthérique, qui fonctionne primordialement au moyen de ses sept chakras majeurs, mais aussi par de nombreux autres chakras.
2. Celui du système endocrinien, qui fonctionne primordialement au moyen des sept groupes glandulaires majeurs, mais aussi par de nombreuses autres glandes moins importantes.
3. Celui du système nerveux (sympathique et cérébro-spinal) avec un accent particulier mis sur le nerf vague avec son effet sur le cœur, donc sur le courant sanguin. »

Tiré des enseignements d’A.A. Bailey
Pascal St-Denis

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