L’amour, une énergie en évolution. (article 2)

Comme mentionné dans l’article précédent, nous donnons de nombreux visages à l’amour, comme dans un miroir déformant. Nous devons maintenant reconstruire cette image en détruisant les déformations et en unifiant la vibration qui se disperse en de multiples expressions. Au niveau de l’être humain, on remarque les formules suivantes : amour familial, amour du conjoint, amour sexuel, amour de la patrie, amour du travail, amitié, etc.. Qu’ont-ils en commun ? Chacune de ces formules a une identité qui lui est propre. Chacune obéit à des règles de comportements et d’attitudes qui en définissent le cadre et qui indiquent où ça commence et où ça finit. Ces règles ne correspondent pas nécessairement aux exigences de l’âme dont la conscience s’aligne sur des principes universels.

Le retour à l’âme est le but de l’être humain et l’amour en est le moyen et cela n’est pas négociable. Les deux sont indissociables, car l’âme est amour et l’amour est la nature même de l’âme. Que veut-on dire par « nature » ? La nature d’une chose est l’ensemble de ses propriétés innées, des propriétés qu’elle possède dès le premier instant et pendant toute la durée de son existence et qui la constituent essentiellement. L’essence d’un être, c’est sa fin. Chez l’être humain, l’âme est l’essence, le début et sa fin. Peu importe le chemin qu’il emprunte afin de connaître et d’exprimer l’amour, il aboutira toujours à l’âme. Alors, s’aimer soi-même, c’est se laisser attirer par ce qui est de plus juste en nous, l’âme. Aimer les autres, c’est se laisser attirer par ce qui est de plus juste en eux, l’âme. Le véritable amour demande que notre conscience soit attirée par ce qu’il y a de plus beau en chaque forme, l’âme.

Lors de mes premiers pas en psychologie ésotérique, il y a un texte d’A.A. Bailey sur l’amour qui a attiré mon attention au plus haut point. Cela disait « L’Amour n’est ni un sentiment ni une émotion. Ce n’est pas non plus un désir ou un motif égoïste d’agir avec rectitude dans la vie journalière. L’amour est la force supérieure qui guide les mondes. Il conduit à l’intégration, à l’unité et à l’inclusion ». C’est ce texte qui a lancé de façon intensive mes 35 années de recherches sur l’évolution de la conscience humaine. C’est à partir de ce moment-là que j’ai réalisé que tout est soumis aux forces évolutives. C’est à moment que j’ai compris que l’amour s’apprend. En partant du principe que l’amour est une énergie en évolution, nous pouvons considérer que nous ne partons pas à zéro. Plusieurs paliers ont été franchis et plusieurs autres doivent l’être avant d’atteindre le haut de la montagne.

Il est entendu que c’est la responsabilité de chacun d’identifier où il en est rendu dans l’intégration de cette énergie. Par contre, nous pouvons globalement faire ressortir des irritants qui empêchent l’humanité de faire un pas à l’avant. C’est ce que nous tenterons de cerner dans le prochain article.

Note : ce blogue est construit autour d’articles qui traitent de sujets qui normalement prendraient l’allure de documents plus volumineux. Dans la mesure du possible, j’essaie de respecter la règle des 500 mots maximum par articles. C’est pourquoi ils sont numérotés selon le sujet ou identifiés à suivre. Pour ceux qui perdent le fil de ces articles, vous pouvez toujours vous rattraper en allant à « pascalstdenis.com », choisir votre thème et trouver ceux qui vous intéressent.

À suivre.

Pascal St-Denis

 

 

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