#8 Un rapport intime entre chakras et glandes

Le système endocrinien ou glandulaire est relié aux chakras. Cela fait en sorte que l’activité des glandes dépendent directement de la qualité des vibrations qui habitent les chakras. Partant de cet énoncé, un homme peut être malade et déficient, ou encore vigoureux et bien portant selon l’état de ses chakras et du système glandulaire qui eux, se nourrissent des énergies des chakras. Il faut toujours se rappeler que les chakras sont l’agencement majeur sur le plan physique par lequel l’âme s’active et exprime vie et qualité selon le point atteint dans le processus de l’évolution. Le système glandulaire n’est qu’une expression inévitable des centres par lesquels l’âme se manifeste. Les glandes expriment donc pleinement le point d’évolution de l’homme, et selon ce point, elles sont responsables soit de défauts et de limitations, soit d’avantages et de perfections atteintes.

La conduite et le comportement d’un homme sur le plan physique sont conditionnés, contrôlés, et déterminés par la nature de ses glandes, et celles-ci sont conditionnées, contrôlées, et déterminées par la nature, la qualité, et la vitalité des chakras. A leur tour, ceux-ci sont conditionnés, contrôlés, et déterminés par l’âme, de plus en plus efficacement à mesure que l’évolution progresse.

Avant le contrôle par l’âme, les centres sont qualifiés conditionnés, et contrôlés par le corps astral, et plus tard par la pensée. Le but du cycle évolutionnaire est de provoquer ce contrôle, ce conditionnement, et ce processus déterminant par l’âme. Les êtres humains se trouvent actuellement échelonnés à tous les degrés imaginables de développement au sein de ce processus. Il en ressort que dans toute vie individuelle le processus karmique doit s’élaborer par l’intermédiaire des glandes, lesquelles conditionnent les réactions de chaque personne envers les circonstances et les événements.

C’est le système de chakras associés à leurs extériorisations glandulaires que nous devons prendre en sérieuse considération et sur lequel nous devons agir. Par exemple, lorsqu’une personne tente de stimuler l’un de ses chakras ou celui d’une autre personne par quelque technique que ce soit, il y aura un impact défini sur la glande associée, donc sur la sécrétion que cette glande déverse habituellement dans le courant sanguin.

Les sept centres majeurs et leurs glandes associées se présentent comme suit :

  1. Le centre coronal                     La glande pinéale.
  2. Le centre frontal                       La glande pituitaire.
  3. Le centre laryngé                      La glande thyroïde.
  4. Le centre cardiaque                  Le thymus.
  5. Le centre solaire                        Le pancréas.
  6. Le centre sacré                           Les gonades (organes sexuelles mâle et femelle).
  7. Le centre coccygien                   Les glandes surrénales.

Il existe aussi d’autres centres (chakras) et de nombreuses autres glandes dans le corps humain, mais les guérisseurs agissent sur les sept centres majeurs. Les glandes mineures ou subsidiaires sont conditionnées par le centre contrôlant la région où elles sont situées. Le guérisseur refuse toutefois d’alourdir sa pensée par les multiples détails concernant les systèmes glandulaires secondaires et par la complexité de leurs moindres relations réciproques intérieures. Les sept glandes et centres cités déterminent fondamentalement l’état de santé – bon, indifférent, ou mauvais – d’un homme, ainsi que son équipement psychologique.

Pascal St-Denis

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