Les relations interpersonnelles et le non-dit

Je parle ici des interactions entre deux êtres humains et des difficultés qui rendent superficielles un grand nombre de relations. Le non-dit constitue l’un des principaux obstacles à une communication qui se doit d’être enrichissante, car le but premier est d’apprendre sur l’autre et inversement.

Bien sûr, je ne vous apprends rien si je mentionne que la peur se trouve à l’arrière-plan du non-dit. De quelle peur s’agit-il, me direz-vous ? La peur du rejet, du jugement, de tomber en disgrâce, de choquer, d’être mal compris, ou encore, de perdre un être cher. Des peurs qui rendent superficiels un grand nombre d’échanges.

Dire ou ne pas dire ? Peur de mal le dire peut-être ? Dire pour nuire ou pour aider ? Dire pour provoquer, ou encore pour imposer une idée ? Toute chose n’est pas bonne à dire, direz-vous. Dire ce que l’autre veut bien entendre? Dire ce qu’il faut pour être aimé ? Il faut reconnaître que le dire comporte beaucoup de pièges. J’aimerais connaître votre opinion sur la question et partager si le sujet vous intéresse.

Pascal St-Denis.   

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