Cette fameuse loi du plus fort qui dirige notre monde relationnel produit un complexe d’infériorité ou de supériorité et plus rarement des rapports égalitaires. La loi du plus fort désigne une situation où une confrontation se résout par un rapport de force au profit d’un individu ou d’un groupe et au détriment d’un autre individu ou groupe. Cette situation s’oppose au règlement à l’amiable, ou « par consensus », à l’issue duquel aucune des parties n’est censée se sentir lésée.
Hier, dans ce contexte de complexe je vous ai présenté un portrait d’une personne aux prises avec un sentiment de supériorité en relation avec une personne ayant développé un complexe d’infériorité. Aujourd’hui, j’inverse le processus pour montrer un portrait relationnel vu de la personne aux prises avec un complexe d’infériorité, et ce, toujours dans un contexte de sympathie et d’antipathie.
Lorsque la sympathie est présente, l’inférieur aura tendance à développer face au supérieur du respect, de l’estime, de l’admiration et de l’émerveillement par exemple. À l’inverse lorsque les attitudes se construisent autour de l’antipathie, les attitudes risquent de prendre le chemin de la peur, de la timidité, de la méfiance, ou encore, de la jalousie, de l’envie et quoi d’autre encore.
Observez-vous et observez le monde qui vous entoure et dites-moi ce que vous y voyez !
Pascal St-Denis.