L’état des chakras détermine l’état de notre santé.

Tiré des enseignements d’A.A. bailey

Transmutation. Transformation. Transfiguration.

Il faut du temps pour que ce processus se réalise avec sagesse et sécurité. Son achèvement marque un parfait état de santé physique. La mauvaise santé a fréquemment lieu dans le processus d’ajustement et de changement qu’implique le passage de l’un vers l’autre.

Cela nous conduit au thème de santé et de maladie, et aux dangers relatifs à un grand nombre de maux physiques. La cause de ces dangers remonte à la condition des centres (chakras), à leurs réactions ou à leur absence de réaction, les uns envers les autres. La cause peut également venir de leur état non développé, engourdi et léthargique, à leur hyper-stimulation ou à leur activité déséquilibrée. Si un chakra est éveillé prématurément, c’est fréquemment au détriment d’autres chakras.

La santé de fer des sauvages, des ouvriers non qualifiés, ou des paysans inintelligents est due en grande partie à l’état apathique de tous les chakras, à l’exception du chakra sacré. Mais ce type d’homme disparaît rapidement à mesure que la pensée se développe et que les effets du processus d’évolution se font sentir. Un autre élément à retenir ; ils sont facilement victimes des maladies contagieuses, et cela se rattache également à l’apathie de leurs chakras.

À mesure que la nature émotionnelle se développe et que la pensée se met à fonctionner, les chakras deviennent plus actifs. Des troubles définis s’ensuivent, principalement parce qu’apparaît des états psychologiques. L’homme n’est plus simplement un animal. L’usure et la dégradation provenant de la vie émotionnelle, facteur majeur qui prédispose à la mauvaise santé, inondent la nature inférieure d’énergies mal dirigées (devrais-je dire mal employées ?). Alors le plexus solaire devient exagérément actif, et cette activité comporte quatre stades :

  • Le stade d’éveil, lorsque le corps astral ou émotionnel devient de plus en plus puissant.
  • Le stade de domination du plexus solaire, qui s’étend sur plusieurs incarnations où il agit comme chakra qui conditionne le corps éthérique. Pendant cette période, l’homme est entièrement conditionné par sa vie astro-émotionnelle.
  • Le stade où le plexus solaire devient la chambre de compensation de tous les chakras majeurs et mineurs situés au-dessous du diaphragme.
  • Le stade où les énergies du plexus solaire sont élevées vers le cœur.

Chacun de ces stades apporte temporairement ses propres maux physiques. Le lecteur notera qu’à part certaines généralisations, je n’associe pas des maladies spécifiques à des chakras spécifiques. J’ai indiqué les régions qui sont conditionnées par eux et elles le sont d’une manière infiniment plus puissante que le lecteur ne peut s’en rendre compte.

J’ai émis la proposition fondamentale que les glandes endocrines sont l’extériorisation des chakras et qu’elles deviennent ainsi les facteurs qui déterminent la santé du corps. Ainsi, leur déséquilibre et leur développement excessif ou insuffisant provoquent des troubles. J’ai laissé entrevoir que le corps médical du Nouvel Âge s’occupera de plus en plus de la théorie de l’orientation de l’énergie, et de son rapport avec les glandes à sécrétion interne. J’ai dit qu’il admettra au moins comme hypothèse et à des fins expérimentales que la théorie des chakras est correcte et qu’ils sont les facteurs qui conditionnent les glandes endocrines. À leur tour, elles préservent le corps, le rendent résistant, fournissent au courant sanguin les éléments essentiels à la santé, et — lorsque leurs interrelations sont bonnes — produisent un équilibre physiologique et psychologique permettant au corps physique de refléter l’expression de la spiritualité humaine.

Lorsque cet état éminemment désirable fait défaut, la cause vient des glandes endocrines qui ne sont pas à la mesure de leur tâche, par suite de mauvaises relations réciproques, et de développement incorrect et mal équilibré avec les chakras. Elles ne peuvent alors ni protéger le corps contre les maladies ni sécréter dans le sang les produits indispensables au véhicule physique. Par suite de cette carence, le corps n’offre plus de résistance aux infections. Il est perpétuellement en mauvaise santé et ne peut vaincre les maladies venant de l’extérieur ou latentes dans l’organisme physique. Cette débilité se traduit fréquemment par des maladies mortelles.

Pascal St-Denis

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